lundi 15 novembre 2010

Everyday life in NZ

Je vous ai parlé des Néo-Zélandais. Je vais maintenant aborder des détails de la vie de tous les jours, divisés par catégorie ou lieu. 

La banque
Ici, pas besoin de 10 000 documents prouvant ton identité et ton adresse. Je n'ai eu besoin que de mon passeport et mon visa. J'ai constaté au passage qu'ils ne se moquent pas totalement des éventuels autres prénoms comme en France, mon compte nz est donc au nom de D A I Meunier, alors que mon compte français est au nom de Daphné Meunier.

Les passages piétons
Tu appuies sur le bouton d'appel avant de traverser. Le bonhomme rouge s'allume alors et une sorte de petit bip d'attente se fait entendre. Lorsque tu peux traverser, le bonhomme vert s'allume et le bip se fait plus rapide. Quand il te reste peu de temps pour traverser, le bonhomme rouge clignote.

Les achats en tout genres
Jusqu'à récemment, le coût de la vie en NZ était inférieur à celui en France. Mais le 1er octobre, le gouvernement a augmenté la GST (Good and Services Tax, l'équivalent de notre TVA), tout est donc devenu plus cher et plus ou moins similaire aux produits français en terme de prix. Mais le gouvernement semble imposer des taxes énormes sur certains produits à savoir : les alcools forts (compter 40 dollars, soit une vingtaine d'euros pour une bouteille de Smirnoff), les livres (compter dans les 20 dollars, soit une dizaine d'euros pour un poche basique).
Le bon côté, c'est qu'il a toujours pas mal de promos donc c'est quand même possible de s'en sortir pour pas trop cher.
En parlant d'alcool, ils sont très tatillons. Si tu as l'air d'avoir moins de 25 ans, tu dois obligatoirement montrer ta carte d'identité, même si tu es visiblement majeur. C'est pénible, particulièrement quand tu étais juste partie accompagner ton coloc acheter un pack de bières sans avoir pris tes papiers. Mon coloc a dû laisser le pack à la caisse et aller dans l'autre magasin sans moi. Re-lous.

Les télécommunications
La NZ est sacrément en retard niveau télécommunications. Internet et téléphone sont relativement chers pour ce que c'est. Pas d'internet illimité pour le moment dans ce pays, donc galère quand tu vis avec quatre personnes et que tout le monde va sur Youtube ou télécharge des truc. Idem pour le téléphone mais là, je crois que c'est un peu pareil en France, on n'a quand même pas grand-chose pour moins de 25 € (perso je dois avoir genre 1h20 de tél ou je ne sais combien de SMS).

Le recyclage
On recycle tout ici mais pas de bacs ou de poubelles de couleur. On doit mettre les cartons, plastiques, ferraille, verre et papier dans des sacs *plastiques* séparés. Pour les poubelles ordinaires, Wellington a imposé un système très curieux : obligation de mettre ta poubelle dans un sac jaune spécial *en plastique* qui coûte très cher. Où est la logique, je ne sais pas. 

La caisse des supermarchés
Les caissiers rangent tes courses dans des sacs en plastique et auscultent éventuellement ta carte d'identité (cf plus haut).

Les transports en commun
Le bus coûte assez cher, le train est vétuste, reste le car, ça prend du temps mais c'est bon marché si tu t'y prends à l'avance. Pour profiter d'une (petite) réduction, mieux vaut se munir d'une Snapper card (équivalent de l'Oyster londonienne), valable dans beaucoup de transports. Elle coûte 10 dollars et est en vente un peu partout. Sur le site de Snapper card, tu peux acheter des pochettes, des clés USB... pour vivre aux couleurs de la Snapper.
Et on remercie le chauffeur du bus quand on descend.

Les DVD
Ici on est en zone 4, ce qui veut dire que je ne peux pas en acheter :(

Les parfums et cosmétiques
Les magasins dédiés à ces produits sont extrêmement rares, ce sont généralement les pharmacies qui les vendent.

Les médicaments
Les grandes surfaces sont autorisées à vendre des médicaments basiques (iburprofène, paracétamol, anti-inflammatoire...) moins cher.

3 commentaires:

  1. Parfums et cosmétiques :
    "(...) ce sont généralement les pharmacies qui les."

    Intéressant :)

    (shame, pour l'alcool...)

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  2. Arf, j'avais pas vu qu'un mot était passé à la trappe.

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