mardi 24 août 2010

Les envahisseurs

Mes amis, je vous le dis en vérité, nous ne sommes plus en sécurité. Pendant des années, la pollution parisienne nous a protégés (et donné grise mine) mais ce temps est révolu. Dame Nature veut reprendre ses droits et nous sommes victimes d'une véritable invasion. Les coupables ? Les INSECTES *jingle dramatique*. Je vois d'ici certains d'entre vous frémir rien qu'à l'idée de ces êtres comptant beaucoup trop de pattes.

Partout dans la capitale, les témoignages s'accumulent : des moustiques, des sauterelles... quelle est la prochaine étape ? Les araignées au plafond ? (nan ça, à la réflexion, ça existe déjà). Et l'on voit bien que ces créatures ont subi une transformation génétique, vous avez vu la taille des bestioles ?! Et depuis quand survivent-elles à une surexposition au monoxyde et dioxyde de carbone, je vous le demande ? C'est à faire passer les serpents pour des peluches sympathiques (en fait non, je retire).

Heureusement, il existe des moyens de combattre ces êtres diaboliques. Les plus intrépides tueront l'indésirable, ô le doux triomphe que de voir tomber au sol le cadavre d'un moustique gorgé de (mon) sang, à moins qu'il ne soit violemment écrasé contre le mur. Les plus écolo attraperont une feuille de papier pour y mettre la bestiole avant de la jeter par la fenêtre (après, survive qui pourra, la sélection naturelle, tout ça tout ça). Et les gros trouillards iront se réfugier dans les jupons les plus proches.

Dans tous les cas, mes amis, rebellez-vous ! Les insectes ne passeront pas ! C'est la luuutte finaaale...

6 commentaires:

  1. Les grenouilles, je te dis. Des grenouilles par centaines, que dis-je, par milliers, qui vont tomber du ciel et venir s'écraser sur les voitures, les trottoirs, les parapluies...

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  2. Ca risque de faire mal. Il va falloir inventer des parabatraciens, encore moins pratiques que les parapluies.

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  3. T'as pas pensé l'autre solution possible. La bonne, en fait.

    Hereusement qu'il y a la FAO pour te guider:
    http://www.fao.org/newsroom/en/news/2008/1000791/index.html

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  4. Ils étaient là avant nous et seront toujours là après nous, quelle misère...

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